Au début de cette année, j’avais commencé à chercher des artistes locaux pour leur proposer de customiser mes furoshikis Green Cyclette. De fil en aiguille, j’ai rencontré Clarsix, un super dessinateur rennais. Et puis le confinement est arrivé, et le projet a été mis de côté… La semaine dernière, appel de Clarsix, mon furoshiki était prêt (il est magnifique, trop beau, hyper rigolo) ! Alors pour le tuto de cette semaine, je lui ai fait faire son baptême du feu.
Comme je vous le disais dans ce post, les livres occupent une belle place dans ma vie. J’en ai toujours au moins un sur moi (nécessaire de survie), au cas où… En plus, je suis maniaque : j’aime qu’ils restent tout beaux, tout propres. Alors, pensez, mon allié zéro déchet, mon furoshiki, me simplifie drôlement la vie 😉 ! Trêve de blabla, je vous montre tout ça en images :
Comme d’habitude, je vous remercie pour votre générosité (likez, partagez autant que vous le voulez) et vous dis à vendredi pour de nouvelles aventures !
Il fait chaud cette semaine, une chaleur à boire la mer et les poissons avec. Alors pour le tuto de cette semaine, j’ai eu très envie de vous montrer comment on peut facilement se protéger la tête avec un chapeau furoshiki… Des tas d’autres nouages sont possibles, façon turban, façon boubou, façon bandeaux. Et si vous vouliez les partager, j’en serai très honorée !
Moi, j’aime bien celui-là, il a un côté désuet qui me fait sourire… Réalisé avec un furoshiki de 75X75 cm, mon furoshiki passe partout avec lequel je peux faire tellement de choses différentes !
Comme d’habitude, je vous remercie pour votre générosité (likez, partagez autant que vous le voulez) et vous dis à vendredi pour de nouvelles aventures !
Nous y sommes presque, le réveillon de Noël est dans quatre jours ! Il est grand temps de penser à la manière dont vous allez emballer vos paquets avant de les déposer au pied de votre sapin…
Et parce que les furoshikis sont mes meilleurs alliés zéro déchet, je vous ai préparé trois tutoriels pour que vous aussi vous puissiez vous approprier ces supers carrés de tissu !
Petite histoire du furoshiki
Avant de vous lancer, je voulais partager avec vous la fabuleuse histoire du furoshiki. Datant de l’ère Néra (710-794), ce carré de tissu arrivé du Japon a plus de 1300 ans. A l’époque, il ne s’appelle pas encore furoshiki, mais tsutsumi (emballage), et sert à emballer des objets de valeur.
Pendant les périodes Heian et Kamakura (794-1333), il change encore deux fois de nom : Koromozutsumi (emballage vêtement), puis hirazutsumi (paquet à plat). Pendant l’époque Muromashi (1333-1573) : les bains japonais ravissent les seigneurs. Avant d’entrer dans l’eau chaude, ils emballent leurs affaires dans des furoshikis (étaler au bain) décorés au blason de leur famille. L’époque Edo (1603-1668) voit les bains japonais se populariser en même temps que les furoshikis se popularisent : ils servent principalement à emballer les affaires et à s’essuyer les pieds.
Alors qu’au début du siècle le furoshiki « est l’objet le plus universellement employé dans toutes les classes de la société », il devient dans les années 2000 le symbole du Mottainai.
« Mottainai : état d’esprit empreint d’humilité, de respect et d’un sentiment de gratitude accompagné de regret à la vue du temps et des ressources gaspillées… »
Kishigai.com
Furoshiki : questions fréquentes
Dois-je offrir le furoshiki avec le cadeau qu’il emballe ? Non, pas forcément : au Japon, ça ne se fait même presque jamais ! Alors bien-sur, vous pouvez l’ajouter au présent que vous voulez offrir. Mais n’ayez aucun scrupule à le reprendre : vous avez tout à fait le droit de vouloir le garder !
Où puis-je trouver un furoshiki ? De plus en plus de boutiques zéro déchet en proposent. En même temps, c’est tellement simple à fabriquer (un carré de tissu avec des ourlets, un surfilage ou simplement coupé au ciseau cranteur) que vous pouvez tout à fait utiliser des tissus que vous n’utilisez plus. Draps usés, vieux paréos, je vous conseille simplement d’éviter les tissus en jersey qui se déformeront et feront de curieux nœuds… Sinon, des foulards chinés sont juste parfaits ! Il suffit juste qu’ils soient carrés !
Les furoshikis, c’est que pour les paquets cadeaux ? Pas du tout ! Ils s’utilisent tous les jours pour emballer des tartes, des bouteilles, vos courses, vos livres et que sais-je encore. Pour des idées de nouages, n’hésitez pas à parcourir mon blog et / ou ma chaîne youtube !
Tutoriels pour emballer vos cadeaux
Si votre cadeau est rectangle, carré ou mou :
Si votre cadeau est rond :
Si votre cadeau est beaucoup plus long que large :
Voilà ! J’espère que ce dernier article de l’année 2020 vous sera utile pour votre Noël ! Je vous souhaite à tous d’excellentes fêtes et vous dis à l’année prochaine !
Je ne me lasserai jamais de le dire : les furoshikis sont des alliés incroyables pour une vie zéro déchet. Tellement de possibilités avec un carré de tissu !
Aujourd’hui je vous montre un nouage tout simple pour emballer vos plats : idéal pour un pique-nique, pour apporter une tarte, un dessert, ou encore participer à une auberge espagnole !
Il faut dire que depuis lundi, je participe à un concours sur Instagram proposé par @petit_monde_ecolo : pendant 16 jours, je me suis engagée à relever les défis que Enola&Manon vont m’envoyer !
Inscrite en fin de semaine dernière (avec l’option « je n’ai pas de jardin »), j’étais impatiente de voir sur quoi j’allais être challengée 😉 ! Lundi, le premier message d’Enola arrive : faire des pancakes ou un gâteau au chocolat. Sans hésiter, j’opte pour la deuxième option (je ne vois vraiment pas ce qui m’a pris 🙂 ) !
Mon gâteau était à peine sorti du four, que j’avais déjà envie de le manger dehors… Ce doit être les effets du déconfinement… Et pour les piques-niques, rien de tel que les furoshikis pour emporter tout ce dont on a besoin…
Vous allez voir, c’est hyper simple !
Le furoshiki utilsé ici est un furoshiki Green Cyclette en tissu upcyclé (sans blague !) et mesure 75 X 75 cm. J’adore cette taille que j’appelle « passe partout » ! Elle prend peu de place dans mon sac à main et peut emballer vraiment beaucoup de choses…
Alors ? Prêts pour un repas ou un goûter au grand air ?
On me demande souvent pourquoi j’ai choisi de fabriquer des furoshikis : tout simplement parce que c’est mon outil zéro déchet préféré. Bon, une fois que j’ai dit ça, j’ai tout dit et j’ai rien dit, une seconde question arrive inévitablement : Oui, mais pourquoi ? Pourquoi est-ce ton outil zéro déchet préféré ?
» – Et bien parce que c’est l’outil zéro déchet qui m’accompagne le plus souvent dans ma vie de tous les jours. Et depuis que j’ai appris son existence, je suis peu à peu tombée sous son charme…
– Ah bon ?
– Oui, avec un furoshiki je peux… Et là je commence à énumérer tous les usages possibles d’un furoshiki. Suivant la curiosité de mon interlocuteur, la conversation – et les démonstrations qui s’en suivent – peuvent durer un certain temps !
Et oui, parce que c’est pas du chiqué ! Avec un même furoshiki de 75 X 75 cm, tout le monde peut : se fabriquer une sacoche à livres, un panier pour faire ses courses, un chapeau quand il fait chaud, un foulard quand il fait froid, un sac à jeux pour trimballer les jouets de vos enfants, un sac à tarte ( sucré, salé, c’est comme vous voulez) quand vous partez en pique-nique ou quand vous allez chez des amis, des bouteilles ( en verre c’est mieux !) d’eaux, de jus de fruit, de vin, de cidre, de lait, de Kefir… Un sac à dos aussi quand vous partez en rando, une plante à suspendre, une sacoche pour votre vélo, une plante à offrir, un nouveau look à votre coussin… Bref, je ne vais pas vous faire un dessin (je vais vous en faire plein !), je ne vais pas vous écrire une dissert (une série d’articles est plus digeste), ni une liste à la Prévert (pourtant c’est hyper chouette)… Je préfère vous proposer des petits rendez-vous, pour que chacun ait le temps (moi comme vous) de profiter du champ des possibles offert par ce magnifique outils zéro déchet qu’est le furoshiki.
Les habitués de mes publications 😉 reconnaîtrons sans doute des photos déjà partagées sur les réseaux sociaux et / ou la section Furoshikis du site Internet Green Cyclette. La petite dernière n’a qu’une semaine, c’est le premier tutoriel publié sur ce blog (tutoriel partir en pique-nique).
Je vous l’ai annoncé plus haut : d’autres suivront… Et j’ai vraiment hâte de pouvoir les partager avec vous ! En attendant, cet article me semblait essentiel pour expliquer le bien fondé de ma démarche. Pour peu que vous vous intéressiez un peu à lui, le furoshiki pourrait bien devenir votre ami pour la vie !
Alors à très vite pour de nouvelles aventures ! Et surtout, n’hésitez pas à me faire part des nouages que vous aimeriez que je partage avec vous !
Tous les furoshikis Green Cyclette sont réalisés à partir de tissu upcyclés !
Les beaux jours persistant (hum, merveilleuse vitamine D, ce que tu nous fais du bien 🙂 ), j’ai eu envie d’enrichir votre palette d’utilisation avec une des possibilités de nouage pour deux bouteilles (vous verrez, d’autres encore sont géniales !), à emmener partout pour vous désaltérer… J’utilise à nouveau un furoshiki de 75cm X 75 cm pour ce tuto (naturellement fabriqué en tissu up-cyclé). Vous pouvez donc le réaliser avec le même furoshiki que le nouage pour les plats 😉 !
C’est parti pour ce nouage en mode casier souple pour deux bouteilles !
Découvrez également tous les services proposés par Green Cyclette et les autres publications de mon super blog 🙂 (un peu d’auto-congratulation ne fait jamais de mal 😉 !). A venir : un article sur les producteurs recycleurs d’Élan Créateur…
Avec le beau temps et le déconfinement, les balades et les randos ont le vent en poupe et c’est bien légitime ! Alors pour partir légers avec deux trois indispensables (gourde, bouquin et châle pour moi), j’ai eu envie de vous montrer comment mon meilleur allié zéro déchet pouvait devenir un sac à dos en moins d’une minute !
Hyper pratique, hyper confortable, vous pouvez le nouer et le renouer à votre guise. Envie de faire une pause ? Trois nœuds à défaire et vous avez votre « serviette » pour poser votre royal fessier ! C’est l’heure de pique-niquer ? La nappe est sur votre dos ! Et pour ceux qui craindraient les vols dans les zones plus fréquentées, je vous assure que glisser une main dans votre furohiki sac à dos sera beaucoup moins pratique que de faire glisser une simple fermeture éclair…
La taille du furoshiki à choisir pour votre sac à dos dépend bien entendu de votre propre morphologie. Comme je suis ce qu’on appelle un petit modèle, j’ai choisi un furoshiki de 100 X 100 cm. Pour les plus grands d’entre vous, un furoshiki de 120 X 120 cm sera indispensable pour vous sentir à l’aise (Blaise 😉 ) !
Pour ceux qui ont l’œil : je confirme, je me suis bien essayée à la broderie pendant le confinement ! J’ai adoré et je compte bien réitérer l’expérience d’ici peu… Stay tuned et je vous raconterai tout ça dans de futurs posts…
Ce tuto vous a plu ? D’autres proposition de nouages vous attendent déjà sur le blog Green Cyclette… N’hésitez pas non plus à faire preuve de générosité en partageant, likant, commentant autant que vous le voulez ! Et puis pour ne rien rater, abonnez-vous à ma chaîne youtube, mon compte Facebook et Instagram. A très vite pour de nouvelles aventures 🙂 !
« Parce que des fleurs dans une cuisine, c’est joli »
Ça ne vous aura sans doute pas échappé, dimanche dernier était la fête des mamans. Quoi qu’on en pense (oui, elle a été créée pour encourager la natalité, oui elle a été récupérée par Pétain, et oui encore, elle favorise la sur-consommation), il est difficile de passer à côté… Je m’explique :
Chacun, selon ses traditions familiales et son histoire personnelle, en fait naturellement ce qu’il veut (y compris décider de l’ignorer). Ceci dit, je n’ai encore jamais rencontré personne qui ne connaisse pas cette fête et qui n’ait pas un avis sur la question (oh, détestable et merveilleux Clint dans Inspecteur Harry : les avis, c’est comme les trous du cul, tout le monde en a un. »). Moi, je trouve ça plutôt sain (un trou du cul, on en a tous besoin 😉 ). Ok, je sors…
Comme c’est moi qui ai la parole ;), je ne résiste pas à vous livrer mon avis sur la question (que ceux qui s’en fiche passent directement au paragraphe suivant). La fête des mères peut être à la fois un moment réellement émouvant (je suis aussi fleur bleue), et un sujet donnant lieu à de magnifiques rigolades (spéciale dédicace à Pierre Desproges et à son sketch la fête des enfants 🙂 )… Alors forcément, je l’aime bien moi, cette fête printanière…
Mes fleurs en furoshiki : stop au sur-emballage !
Autre chose qui ne peut vous avoir échappé : le bouquet de fleur est une valeur sûre pour cette fête des mamans. Pourquoi ? Comme le dit Biolay, « parce que des fleurs dans une cuisine, c’est joli ». Bon, on est pas non plus obligé de mettre les fleurs dans la cuisine. (fille + fleurs + cuisine, ça commence à faire beaucoup).
Les fleurs, on peut en mettre partout, y compris dans un furoshiki. Quand elles sont fraîches (les fleurs), j’aime beaucoup l’idée de l’accrocher à une poignée de porte pour que la personne à qui on veut les offrir les trouvent en arrivant chez elle ;). Quand elles sont sèches, le furoshiki est une super alternative au vase : on peut alors les suspendre à un porte manteau, une fenêtre, une chaise, un crochet… Et quand on a un furoshiki sur soi, on peut même éviter les sur-emballages chez le fleuriste ! Elle est pas belle la vie ?
J’ai utilisé ici un furoshiki Green Cyclette en tissu up-cyclé de 75 X 75 cm… Et si c’est l’occasion de la fête des mères que j’ai saisie, n’oubliez pas que les fleurs comme les furoshikis, ça peut être tous les jours de la vie !
Comme d’habitude, je vous remercie pour votre générosité (likez, partagez autant que vous le voulez) et vous dis à vendredi pour mon prochain article sur les producteurs recycleurs !
Il y a un peu moins d’un an, je rejoignais la coopérative d’entrepreneur Élan créateur à Rennes. Mon projet était déjà bien défini : accompagner des particuliers et des entrepreneurs de tous horizons vers des pratiques toujours plus écologiques. Petit problème toutefois, je ne savais pas comment l’appeler…
Choisir le nom de mon entreprise
L’up Cyclette était une marque déposée, la Bop Cyclette ne me satisfaisait qu’à moitié… Ce qui était certain, c’est que tous les noms qui me parlaient un tantinet tournaient autour de la notion de cycle. Et oui, que l’on parle d’expérience humaine ou d’un objet matériel, je reste persuadée que rien ne se jette et que tout peut être valorisé d’une manière ou d’une autre.
Ce qui est plus étrange, c’est qu’à aucun moment je n’ai pensé aux vélos ! Une fois n’est pas coutume, j’envisageais (et envisage encore) le cycle de manière globale, écosystémique, réellement circulaire. Le détail du cycle ne m’apparaissait pas. Erreur de communication ? Je ne crois pas ! Je ne me serais peut-être pas intéressée aux cycloentrepreneurs sans elle. Non, rien de rien, vraiment, je ne regrette rien !
J’ai du mal aujourd’hui à comprendre comment « Green Cyclette » ne m’est pas venu plus vite. J’étais sans doute trop focalisée sur l’idée du ré-emploi, de l’upcycling ou du sur-cyclage. Ses possibilités en sont tellement importantes, l’envie de m’ancrer dans le « faire » était si forte que je ne prenais pas encore la hauteur suffisante pour trouver l’évidence.
« Cyclette » était le nom que je donnais au mécanisme de créativité comportementale au cœur de toutes mes activités. Lui donner la couleur de l’écologie lui a inoculé l’exacte dimension que je lui voulais. Green Cyclette était née !
Choisir le logo de Green Cyclette
Hourra me direz-vous ? Oui, certes oui j’étais ravie, soulagée, aux anges : je pouvais enfin nommer ma petite entreprise…
En même temps, chacun le sait : l’identité d’une entreprise ne vaut pas chère quand elle n’est pas accompagnée d’un bon visuel. Là encore, j’en ai noirci des cahier à la recherche de la super idée ! Façon de parler : mes talents de dessinatrice étant tout de même sacrément limités… Mes cahiers étaient consacrés à l’idéation de ce logo. Canva était (et est encore) mon outil de création visuelle préféré ! Petit à petit, mon cahier des charges s’est peaufiné :
Je voulais un animal : ils sont chouettes les animaux, ils dépendent vraiment de leur environnement et en plus ça me permettait de ne pas limiter l’image de ma marque à la mienne (d’image, en tant que Mathilde Guyard)
Je voulais quelque chose de pepsy, joyeux, étonnant, un brin décalé tout en restant élégant.
L’utilisation du vert était bien entendu indispensable. Je voulais l’associer à une couleur chaude, lumineuse.
Jouer avec Canva
Je ne sais pas si vous connaissez cet outil en ligne : ce logiciel de création est tout simplement époustouflant ! Je vous en avais déjà brièvement parlé dans mon article sur les bières au pain, il permet de créer des visuels, d’éditer une charte graphique, de créer des petites BD, de faire des montages en tous genres, des affiches…
Il a contient une réserve de dessins (et de photos) assez impressionnante dans laquelle je suis allée fouiller pour dénicher la perle rare. Je devais trouver un modèle aux couleurs modifiables, simple à reproduire et identifier.
Un sacré bestiaire y est passé. La grenouille ne fonctionnait pas : elle est déjà verte. La panthère a longtemps été ma préférée. Et puis je suis tombée sur le flamant, et là, mon cœur a balancé. Avec une panthère d’un côté, un flamant de l’autre, je ne savais que faire.
Prendre la couleur de ce qu’on mange
Le flamant n’a finalement pas eu de mal à l’emporter ! C’est une des rares espèces à prendre la couleur de ce qu’il mange (son rose est celui des crevettes dont il se nourrit) : il était tout simplement parfait pour incarner ma Green Cyclette. Encore mieux : le flamant est une espèce protégée en France depuis les années 80, on en trouve dans de très nombreuses régions du globe, ils sont grégaires et ne peuvent vivre isolés de leurs congénères.
Nourrie à l’information et aux pratiques écologique, verte profonde ou pimpante, Green Cyclette a commencé a vivre sous mon clavier, sur fond d’orange vitaminée… Quant à ma panthère, elle est devenue la super copine de Green Cyclette et l’accompagne dans mes visuels depuis les premières heures !
Je l’admets volontiers : je parle assez peu des activités de Green Cyclette sur ce blog. Déformation professionnelle de coach : centrer mon attention sur les autres plutôt que sur moi ? Qui sait ? Une fois n’est donc pas coutume, je m’en vais consacrer cet article aux ateliers du mois de décembre.
Atelier furoshikis, oh oui, oh oui
Pour adopter des emballages cadeaux chics et doux pour l’environnement, j’animerai un atelier nouage de furoshikis le samedi 12 décembre de 15h00 à 16h30 au Pique-Prune Cleunay. Au programme : apprentissage de nouages, mais aussi petite histoire du furoshiki et astuces pour en fabriquer vous même avec des tissus de seconde main !
Parce que oui, penser Noël sans cadeaux, c’est un peu comme essayer d’imaginer un arc en ciel en noir et blanc. Ode à la sur-consommation ? Pas forcément ! Tant d’alternatives se pratiquent aujourd’hui : cadeaux responsables, cadeaux immatériels, système du père Noël mystère… Les solutions pour un Noël frugal sont de plus en plus adoptées et je m’en réjouis !
Dans ce retour à plus de frugalité, les emballages cadeaux ne sont vraiment pas à négliger. En un an, les français consomment 20 000 tonnes de papiers cadeaux (soit 2 tours Eiffel). Quant à la production de ce papier cadeau, elle demande 303 330 m3 d’eau (soit à peu près 2 jours de consommation d’eau potable dans tout le bassin rennais). Brrr, moi, rien que d’écrire ces chiffres, ça me fait froid dans le dos…
Le furoshiki : le couteau suisse de l’emballage zéro déchet
Là encore, plusieurs alternatives existent. Vous le savez : ma préférée reste le furoshiki, véritable couteau suisse de l’emballage responsable. En plus, le furoshiki s’utilise toute l’année : foulard, sac à tarte, sac à bouteille, tapis de jeux, sac à dos… Ses possibles sont innombrables et je vous en ai déjà partagé quelques uns dans ces quelques articles.
Si les nouages sont souvent très simples, encore faut il savoir les faire et connaître les astuces pour que leurs nœuds soient encore plus élégants que les habituels frisotis de rubans.
Les inscriptions à l’atelier « Emballer ses cadeaux selon l’art de plier les tissus à la japonaise » se font en quelques clics sur le site Internet scarabée biocoop, rubrique agenda et billetterie. Le tarif est à 6 €, un prix symbolique pour un Noël tout doux !
Festival préparer Noël sereinement : l’évènement Newsphère de cette fin d’année
Ciel ! Une invitation à la sérénité en ces temps agités ? Moi, je dis oui, oui et re-oui. Est-ce la même chose pour vous ? De mon côté, je ressens quelques tiraillements entre ce qu’on se souhaite les uns les autres (« prends soin de toi et de tes proches ») et ce qu’on fait réellement (vivre confinés en mode pied au plancher) ! Alors quand j’ai reçu une invitation pour participer au festival newsphère, je n’ai vraiment pas hésité !
Comme le dit si bien Maëva (une des deux co-organisatrices de l’évènement), ce festival est pensé pour offrir des bulles de sérénité, de véritables parenthèses ressourçantes dans notre rythme effréné !
J’aurais donc le plaisir de participer à une table ronde et d’animer un super atelier :
Et parce que je suis d’une insatiable curiosité, j’ai profité de cette super invitation pour demander une interview à Charlotte et Maëva, les supers organisatrices de ce merveilleux festival !
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